Il y a quelques temps, explique le site AndroidPolice, HTC a installé sur bon nombre de ses appareils des outils destinés à loguer tout un tas d’informations (identifiant de cellule, position gps, contacts, numéros de téléphones…), dans le but probable d’améliorer à la fois les services de communication et la fiabilité des applications Android. Mais les données ainsi collectées, vient de découvrir Trevor Eckhart, ne seraient pas si difficile que ça à extraire, et le blocage de l’émission de ces informations ne fait en aucune manière cesser la collecte desdites informations. Un PoC a été développé par l’inventeur de la faille, qui semble affecter les appareils de la série Evo et les Thunderbolt.
HTC, peu de temps après, a immédiatement promis la diffusion d’un correctif. Fort heureusement, c’est la première fois que cela se produit et les autres fabricants de téléphones cellulaires ne se sont pas transformés en espions pour autant.