Programme également du côté de Hack in Paris. Les différences avec les Sstic sont nombreuses. ( NdlC Note de la correctrice : déjà, on peut y aller en métro, et les journalistes ne payent pas leur droit d’entrée). Les conférences sont toutes effectuées en langue anglaise, tablant sur un public et des orateurs en provenance de l’Europe entière. Ce qui ne veut pas dire que les chercheurs Français soient exclus. Notons au passage une cession sur les attaques XML par Nicob. De grands noms y apparaissent : Winn Schwartau, Mikko Hypponen… Les sujets sont un peu plus orientés « préoccupations quotidiennes concernant monsieur toutlemonde » et un peu moins « reverse d’un jeu de composants utilisé aux USA ». L’on préfère également parler de hack Android, d’audit de sécurité IPv6 (si si, on y viendra un jour), de Scada car c’est à la mode, de Windows 7, Windows 8 (déjà !), Poscript… c’est moins glamour qu’un root de serveur BSD sécurisé mais « ça fait sens » pour l’homme du XXème siècle. Rappelons que Hack in Paris se déroulera du 18 au 22 juin, quelques jours après les Sstic.