Gros émoi de la presse US à la lecture du rapport annuel destiné au Congrès et rédigé par le Department of Defense US. A l’origine de cette hémorragie d’articles alarmistes, une phrase « In 2012, numerous computer systems around the world, including those owned by the U.S. government, continued to be targeted for intrusions, some of which appear to be attributable directly to the Chinese government and military. These intrusions were focused on exfiltrating information »
Le Ministère des Affaires Etrangères de Pékin a immédiatement répliqué en déclarant en substance que de telles remarques irresponsables et exagérées concernant la construction « normale » de ses moyens de défense ne jouaient pas en faveur d’une relation de coopération reposant sur des relations de confiance mutuelle… langue de bois contre FUDologie, ces petites escarmouches diplomatiques désormais étendues au domaine « cyber » durent depuis bientôt plus de 15 ans.