Lorsque la rédaction de Reflets.info ronge un os, il est très difficile de le lui faire oublier ou de lui demander de l’enterrer. Antoine Champagne s’intéresse à la renaissance de cette entreprise à qui le régime de quelques dictateurs du moyen Orient doit beaucoup : Amesys. Un marchand d’armes de surveillance qui change (presque) de nom, qui change (presque) de patron, qui change (réellement) de nationalité puisque son siège se trouve désormais à Dubaï, pays non signataire des accords visant à contingenter le commerce des armes physiques ou numériques.