C’est principalement le ZDI qui est à l’origine de ces découvertes de failles : au total, Apple corrige 9 trous dans Quicktime, versions touchant indifféremment les éditions Windows et OS/X. Certaines exploitations peuvent exceptionnellement conduire à une exécution de code à distance, la plupart ne pourrait, estime l’éditeur, que conduire à un déni de service.
Signalons au passage que la précédente fournée de correctifs Quicktime fait l’objet d’un commentaire composé sur GNU Citizen, sous la plume de PdP. Ce papier constitue à priori le premier volet d’une série, une suite abordant les conséquences de l’attaque décrite devant être publiée avant la fin de cette semaine.