Eugène Kaspersky, grand éditeur d’antivirus Russe estime, nous apprennent nos confrères du Reg, qu’il n’est de pire chose que l’anonymat sur Internet. Il faut, a-t-il expliqué en substance lors d’une interview, que chaque internaute ne puisse avoir accès au réseau qu’une fois qu’un passeport, un « droit de surfer » fortement identifié ne lui soit délivré, le tout sous le contrôle permanent d’une « police internet » transfrontalière. Ce n’est pas la première fois que l’éditeur moscovite appelle à un renforcement des contrôles policiers sur la Toile. Le désir de voir ce flicage individualisé est en revanche une première.