La haute autorité, nous apprennent nos confrères de Libération, se lance dans une grande opération de séduction auprès des médias. Une campagne marketing qui vient alourdir le budget de la lutte « antipiratage » dont, pour l’instant, personne ne possède le montant exact ni la rentabilité.
Une récente étude également commentée par nos confrères de Libération, montrait que, malgré les mécanismes de délation automatisés et le système répressif, une majorité d’usagers n’envisageaient pas de changer d’habitude, que dans 84% des cas les téléchargeurs étaient acheteurs de contenus légaux, donc promoteurs économiques. Des chiffres que ne parviennent pas à masquer des questions formulées de manière parfois discutable ou pouvant prêter à interprétation de ladite étude.