En saisissant les instances judiciaires Russes et Européennes sous prétexte de pratiques déloyales de la part de Microsoft, Kaspersky est au moins parvenu à déclencher une réaction de la part de la Windows Company.
« Nous ne bloquons pas les antivirus concurrents, nous empêchons simplement que surviennent des problèmes de compatibilité… Et ces problèmes de compatibilité peuvent s’avérer très nombreux dans le domaine très technique et surtout très lié aux couches basses du système d’exploitation qu’est celui des antivirus. « Notre seul but est de protéger nos utilisateurs, et non d’entraver le business des tierces parties » explique de manière très jésuitique Rob Lefferts, patron de la sécurité de la division « Windows and Devices».
Même chanson même refrain que l’aria chanté lors du lancement de Windows Vista, lequel tombait un peu trop souvent en délicatesse
lorsqu’un antivirus tiers venait à être installé. A l’époque, Windows Defender, l’A.V. de Microsoft, était un produit ni intégré, ni gratuit.