L’homme doit pouvoir garder le contrôle et devrait être capable de corriger les défauts des robots à tout instant. C’est ce que demande en substance une proposition de loi US (faudra-t-il 4 ans pour que les Européens s’en inspirent ?) déposée par des Sénateurs tant démocrates que républicains. Un texte qui vise essentiellement l’Internet des Objets, lesquels « devront être capables de se voir appliquer des correctifs, ne comporteront aucun mot de passe « codé en dur » et seront exempts de défauts de sécurité connus et déjà référencés » précise Mark Warner, l’un des élus à l’origine de ce projet. Difficile de savoir ce qu’il y a de plus improbable autour de ce texte : un appareil qui respecterait a minima un «Owasp » de la robotique ou une méthode de développement intégrant la sécurité dès la conception du produit.