Lancé au début de cette année, le site « Je publie, je réfléchis » parrainé par la Cnil n’a pas bougé d’un iota depuis sa création. Là , l’on pourrait regretter que la Cnil n’ait pas pensé de conseiller de réfléchir avant d’écrire, et non l’inverse. Autre oubli potentiel de la Commission : des conseils à propos de la lecture attentive des Cluf (Contrat de licence utilisateur final), desdits sites Web 2 .0, qui sont autant de petits précis de bigbrotherisme conditionnés en corps 6 et termes abstrus …