Le quotidien Nippon Mainichi titre « 1,4 milliard de Yen volés en utilisant les DAB installés dans des supérettes Japonaises ». Il aura fallu une organisation quasi militaire pour que ce casse de billetteries automatiques se réalise, impliquant probablement une bonne centaine de mules réparties dans 16 préfectures du pays. Une orchestration qui n’est pas sans rappeler les précédents « fric-frac de la trêve des confiseurs ».
A l’origine de ce cambriolage numérique, la fuite de 1600 identités bancaires des serveurs d’un établissement situé en Afrique du Sud. Peu d’informations filtrent dans la presse. Tout au plus apprend-on que le vol a été opéré dans la journée du 15 mai, et que les enregistrements vidéo des caméras de surveillance font porter les soupçons sur un gang Malaisien.
Cela fait cher du piratage!