Dans une lettre adressée à ses usagers, Erin Egan, Chief Privacy Officer de Facebook, reconnaît officiellement que la fuite (ou partage automatique par défaut) d’informations F.B. publiées a bien touché 14 millions de personnes. Utilisateurs à qui il est demandé de vérifier leurs contenus et surtout les paramètres des partages automatiques.
Ce souci de transparence doit probablement beaucoup aux efforts prodigués il y a peu par Cambridge Analytica, qui fit son possible pour sensibiliser les internautes en matière de protection de la vie privée.