Si retrouver la trace du susnommé Bruce Mengler sur Linkedin n’est pas franchement difficile, il n’est guère plus compliqué d’utiliser l’alibi Facebook pour infecter la machine d’un ado pré-pubère. D’autant plus simple que ledit Facebook a, depuis sa création, habitué ses abonnés à recevoir des courriels à la moindre modification du profil d’une « connaissance de réseau ». Un dressage quasi pavlovien que les black hat ont rapidement mis à profit, nous apprend Websense. « Votre correspondant vient d’ajouter une photographie à son profil, cliquez ici pour en découvrir la splendeur » incite cet email aussi faux que trojanisé.