Sous un pseudonyme « à la mode », @fs0c131y alias Elliot Alderson, chercheur probablement Français, pousse un cri d’alarme : les téléphones Chinois Wiko diffuseraient une foultitude de données personnelles à destination de Tinno Mobile Technology Corp, l’Evil company qui détient la marque Wiko. Les données sont transmises via http et/ou SMS et contiennent l’Imei, la cellule utilisée, le numéro d’identification client, le numéro de série et le numéro de version du terminal.
Cette fuite d’informations en grande partie à caractère personnelle aurait pour origine deux applications propriétaires préinstallées et impossibles à supprimer.
Il y a une semaine à peine, Mr Robot dénonçait l’existence d’une backdoor sur les terminaux OnePlus 3, 3T et 5, via un outil d’administration donnant accès à des droit root.