Jusqu’à présent simplement signalés par une mention « not secure » dans la barre de lien, les sites web « non https » affichés avec le navigateur Google Chrome auront un message d’alerte inscrit directement sur la page à partir du 1er octobre de cette année.
Comme la sécurité par l’autoritarisme fonctionne rarement, il y a fort à parier que bon nombre d’internautes refuseront d’installer la version de Chrome 62 et conserveront leur ancienne « 56 »… ou changeront de navigateur.
Si le protocole SSL améliore sensiblement la protection des échanges de données, notamment dans le cadre des applications d’e-commerce, aucun « https », cadenas ou barre d’url verdâtre n’a constitué une certitude d’inviolabilité, ou l’assurance d’un meilleur fonctionnement, particulièrement dans le cadre d’un réseau interne …