De source bien informée et généralement digne de foi, l’ouragan Katrina qui a ravagé le sud-est des USA et tué plus de 1800 personnes en 2005 aurait été amorcé par de dangereux terroristes, semblent indiquer les récentes réactions des « agences à trois lettres ». C’est ce que dénonce Muckrock, une organisation spécialisée dans l’assistance aux procédures de divulgation d’information déclassifiées et soumises au « Freedom of Information Act ».
Si, durant les premiers temps suivant la catastrophe, le FBI se devait d’envoyer d’importants renforts en hommes et en matériel pour suppléer aux infrastructures de polices locales totalement dévastées, on comprend moins les raisons pour lesquelles ce même FBI a maintenu une présence importante des mois (des années) après le passage de l’ouragan. Présence qui s’est traduite par un foisonnement de ces fameuses « fausses cellules GSM » chargées d’intercepter les communications des citoyens. La raison même pour laquelle l’Etat Fédéral a décidé de déployer ces cellules (nom de code StingRay) est difficile à justifier. Au plus fort de leurs déploiements, rares étaient les citoyens capables de posséder encore un abonnement cellulaire, voir même de recharger leurs appareils téléphoniques, puisque la quasi-totalité du réseau électrique était hors service.
En France, de telles cellules fantôme peuvent-elles exister ?