Des failles entrant dans la catégorie « exploitable à distance » : le web de NetDev en serait presque rouge de confusion. Il s’agit là du tout dernier lot trimestriel de correctifs en date du 14 novembre, bouchons logiciels dont l’origine est en grande partie située du côté de AppSecInc, alias Shatter. Rappelons aux administrateurs de SGBD qu’une surveillance régulière dudit site est plus que conseillée, car l’on y trouve autant, si ce n’est parfois plus, d’informations sur les bases Oracle, Sybase, Microsoft, MySQL, Notes, Exchange et DB2 que sur les sites des frères Litchfield ou sur celui d’ Alexander Kornbrust.