Après l’annonce de publication des correctifs bisannuels Cisco, voici venir le temps des analyses. De l’analyse devrait-on dire, car pour l’heure, seul le Sans s’est penché sur la dangerosité réelle des failles révélées. Sur 12 rustines émises, deux seulement sont qualifiées d’importantes, six de critiques, et quatre portent le label « patch now »… ce qui, dans le langage de l’Institut, signifie que l’exploitation distante est très probable, généralement aisée et toujours destructrice. Ces défauts de première importance concernent snmp, le firewall et un risque d’attaque fragmentée via sccp.