Lecture humoristique et distrayante, que celle de Hacker Factor. Neal Krawetz y publie un billet intitulé « Open Source Sucks ». A ne surtout pas prendre au premier degré… enfin, pas complètement.
Qu’est qui est pourri dans le royaume de l’Open ?
– Les développeurs eux-mêmes qui prennent des attitudes de prima dona lorsqu’un quidam a l’impudence de leur annoncer un bug.
– Les noms des produits qui, au lieu d’annoncer clairement leur fonction (Paint, Write, Internet Explorer) tentent de confondre l’éventuel usager avec des noms de code : Lynx, Chrome, Konqueror… Là, Krawetz est assez charitable pour ne pas également épiloguer sur les numéros de version qui prennent rapidement des tournures de suite de Fibonacci : 6.04.314.42…
– Le coût réel lié à la période d’apprentissage (donc de non-productivité) des applicatifs du monde du libre, qui sont, estime l’auteur, moins bien « finis », moins bien documentés, et généralement d’une ergonomie moins travaillée.
– Le code source et la documentation dudit code, dont les noms de variables confinent parfois à l’abstrus et dont les « remarques et commentaires » dans le source rappellent le désert de gobie
– Le mode de fonctionnement de la licence GPL qui, telle un virus, contamine de son obligation d’ouverture tout programme contenant une portion de code GPL.
– La facilité d’utilisation, plus que relative car, pense Neil Krawetz, les programmes Open Source sont plus pensés en termes de performance que de simplicité d’usage. Un programmeur ne peut prétendre assumer seul les décisions concernant l’interface du programme qu’il écrit, sans le secours d’un spécialiste des « interfaces humaines et de l’intégration »
Troll ou éléments de réflexion ? Il faut admettre que Krawetz n’a pas tort sur bien des points. Il faudra attendre la semaine prochaine pour découvrir la seconde partie de l’article consacré aux « 6 points » qui font cette fois l’honneur des programmes Open Source.
Sûr que les commentaires dans le code d’Adobe (au hasard) sont plus utiles…
(J’ai dit une connerie ?)
Cher interlocuteur masqué,
Ce genre de remarque n’a aucun intérêt car l’argumentaire est inexistant. En revanche, moi, j’ai envie de vous dire que lorsque vous décidez de commenter un article en vous cachant sous un pseudo et en employant un terme quelque peu injurieux qui nous donne une idée de votre appréciation du contenu de l’article et rien d’autre, cela ne fait que desservir votre point de vue plus qu’autre chose. Un point de vue que j’aimerais bien lire car tous les avis sont bons à prendre !!
A vous la plume,
Solange Belkhayat-Fuchs
Il aurait du trouver plutot les 6 raisons pour se taire car il dit que des coneries
Pour ce qui est de la simplicité, un ubuntu avec gnome est plus facile que Windows 7 pour un grand débutant en informatique
L’argument des noms est un peu limite: exel, picasa…alors que sous linux: tableur, visionneur de photo…. (les noms des programmes peuvent être en français, ce qui est souvant déroutant pour un vrais geek). Pour ce qui est des noms je trouve que l’opensource n’a pas à rougir.