VLC considéré par Bing (et donc Microsoft) comme vecteur de propagation d’un malware ? la chose est prise très au sérieux explique Videolan.
L’équipe sécurité d’Office 365, de son côté, explique les raisons alambiquées de cette mise à l’index. A l’origine de ces soupçons, une attaque visant une faille dans Inpage, un traitement de texte conçu pour les langues Arabe, Perse, Pachtoun, Urdu… Or, pour parvenir à ses fins, le vecteur d’attaque utilise une vieille version de VLC, elle-même vulnérable à un détournement de DLL.
Préférant jeter le bébé avec l’eau du bain, l’équipe Microsoft a donc déclaré logiciel non-grata à la fois Inpage, son trou de sécurité, et VLC. De bien mauvaises langues ont suggéré d’inclure dans la liste Windows lui-même, puisque ce noyau sert également de support au vecteur d’attaque.